lundi 24 octobre 2016

8 novembre : Mobilisation !

Le 8 Novembre, tous les collègues de la santé et du médico-social : EN GREVE ET EN MANIF ! Rdv à 14h à St Cyprien


dimanche 16 octobre 2016

"Touche pas à mon CE" : signez la motion

vendredi 14 octobre 2016 , par EB
Interpellons les députés et les ministères pour exiger le retrait des dispositions qui visent à taxer les prestations servies par les Comités d’Entreprises et à minorer l’ensemble des activités sociales et culturelles des salariés.
Après le retrait de l’amendement proposé dans le cadre de la loi El Khomri, concernant la taxation des activités sociales et culturelles des CE, le gouvernement profite de la discussion sur la Sécurité Sociale pour introduire cette dernière.
3 ministres : Sapin (Economie et Finances), El Khomri (Travail) et Touraine (Santé et Social) mettront à mal, par cette taxation, les activités sociales et culturelles des comités d’entreprise dispensées à leurs ayants droits. Encore une fois, ce serait aux salariés d’être mis à contribution pour réduire les déficits de la Sécurité Sociale alors qu’ils ne portent aucune responsabilité.
Leur objectif est de vouloir récupérer 1,4 milliards d’euros sur la dotation attribuée aux salariés. Ainsi, ils veulent taxer les ayants droits qui percevraient plus de 322 € d’attributions par an, versés par le comité d’entreprise. Cela s’appliquerait à l’ensemble des activités proposées par le CE.
Au moment du 70ème anniversaire de la création des comités d’entreprise, c’est un coup porté à l’ensemble de l’économie sociale et solidaire. Au-delà, c’est l’emploi dans les secteurs du tourisme, de la culture et des loisirs qui serait menacé.
Si ce texte voit le jour, ce serait une véritable atteinte au fonctionnement des CE en taxant les activités qui créent et développent le lien social dans une entreprise, mais également à l’ensemble des associations sportives, culturelles ou du Tourisme Social…
Ensemble, nous ne laisserons pas faire !
Télécharger la motion à faire signer : cliquez ici

samedi 8 octobre 2016

Congrès de la coordination des syndicats CGT de l'ANRAS

Congrès



Accueil des congressistes

Intervention de Alain Maurial (secrétaire USD)

Ce Congrès a été l'occasion de revenir sur les politiques ultra libérales des gouvernements successifs (particulièrement la loi travail), sur les politiques d'austérités avec en corollaire les conséquences sur notre secteur.
Dans le contexte de la création du NEXEM, syndicat employeur aux visées marchandes et libérales,
de graves dangers pèsent su les conventions collectives et particulièrement la CC66.

Dans ces conditions, il est important de construire des actions revendicatives et la CGT ANRAS et de ses syndicats l'a déjà montrer dans les luttes pour la défense des salariés.
Après avoir rappelé les nombreuses résistances des salariés de l'association : l'histoire de l'AGOP devenue ANRAS, la lutte contre la territorialisation

Accords négociés : accord 35H, accord transferts, accord CHSCT, accord égalité femmes/hommes.

 participation aux différentes luttes à l'appel du syndicat CGT

 Création de nouveaux syndicats

Proposition d'une motion de soutien aux camarades de la clinique de l'Ormeau de Tarbes et envisager une participation financière.

1 Point sur la syndicalisation 135 syndiqués CGT / 10% sur l'effectif de l'ANRAS, donc supérieur à la moyenne nationale qui est de 4%. Nous sommes implantés sur 15 établissements. Première force syndicale organisée dans l'association Aux dernières élections 44% de suffrages exprimés. Nous tenons notre représentativité des élections. Bilan très positif. Et pourtant la syndicalisation reste compliquée en raison de la précarisation des salariés. Débat : Et pourtant campagne de dénigrement du syndicat, pour exemple le Chêne vert et dernièrement l'IME Forgues. Et cela risque de se répandre au sein des établissements. Ces manoeuvres existent dans les établissements pour réduire l'influence de la CGT. Demande des nouveaux syndiqués de soutien et d'outils pour apporter des solutions aux salariés. Hypothèse : droit à la formation, importance de la communication, mise en place d'assemblées générales.  Proposition de la création d'un kit nouveau syndicat.  Proposition d'acter le fait de venir en soutien aux syndiqués isolés, aux nouveaux syndiqués et aux syndicats en difficulté.  Proposition de venir en soutien financier aux grévistes de la loi travail de la CGT ANRAS en particulier St François.
Vote des résolutions...







Fête de l'Union Départementale CGT de la Haute-Garonne

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Syndiquez-vous !

Après les fortes mobilisations des derniers mois, face à un gouvernement et un patronat à l'offensive contre nos droits, la CGT ANRAS appelle les salarié-e-s à renforcer leur unité et leur résistance, à se syndiquer à la CGT !


jeudi 6 octobre 2016

#VieDeMère

 
Article tiré du site de la CGT

jeudi 6 octobre 2016 , par Alessandro Vitaglian
 
Selon un rapport, rendu public mi-septembre par France Stratégie (organisme rattaché à Matignon), les discriminations sur le marché du travail, qui touchent d’abord les femmes, ont un coût important et leur réduction substantielle permettrait à l’économie de gagner entre 80 et 310 milliards d’euros.
Campagne de l’Ugict-CGT
« #viedemère, avoir une carrière, c’est toute une histoire »,

Les femmes « subissent le temps partiel, font moins d’heures supplémentaires, bénéficient de moins de primes, travaillent dans des filières différentes (relations, soins) de celles des hommes (finances, production) », note Brigitte Laloupe dans son ouvrage« Pourquoi les femmes gagnent-elles moins que les hommes ? »


Avoir une carrière,c’est toute une histoire..
Alors que durant cette semaine la question des inégalités de genre va venir au-devant de la scène, l’Ugict-CGT lance pour sa part une campagne visant à montrer les discriminations dont sont victimes les mères de famille au travail. Intitulée « #viedemère, avoir une carrière, c’est toute une histoire », cette campagne illustrée par des affiches et des tracts invite les femmes, mais aussi les hommes, à partager sur les réseaux sociaux les petites phrases entendues au quotidien et les situations vécues au travail, ces remarques plus ou moins explicites, intrusives, et violentes, qui font dire #VieDeMère !

Elles expriment une discrimination qui pèse sur nous toutes, suspectées d’être avant tout des mères ou de futures mères et donc aujourd’hui ou demain moins engagées dans le travail. Nous nous heurtons ainsi au fameux plafond de verre, barrière invisible qui bloque l’évolution salariale et professionnelle des femmes.

Aujourd’hui l’Ugict-CGT mène campagne pour que #VieDeMère puisse vraiment rimer avec carrière.